Nintendo Switch : notre bilan de l’année 2022

Nous sommes déjà toute fin décembre. A l’heure où ces lignes sont écrites, Noël n’est pas encore passé, mais lorsque vous les lirez, vous aurez déjà eu droit au traditionnel échange de cadeaux, si tant est que vous participez à cette fête. C’est donc l’heure parfaite pour une chose : faire le bilan. Le temps passe (passe passe) et beaucoup de choses ont changé, une partie l’équipe de Switch-Actu en profite donc pour vous donner chacun ses quelques points importants de l’année sur Nintendo Switch, mais pas que.


Le top 2022 de Giomosby

Xenoblade Chronicles 3 S3

3. Sonic Frontiers (sans doute un peu plus sur PS5)

Au risque de m’attirer les fans de la licence : malgré toute mon affection pour le personnage, je ne suis jamais arrivé à rentrer dans un jeu Sonic, n’ayant jamais compris l’intérêt de ce gameplay particulier qui incite les joueurs à aller vite tout en les punissant dès qu’ils le font. Puis est arrivé Sonic Frontiers. D’abord sceptique au vu des premières images, j’ai été intrigué après avoir vu de nombreux journalistes en vanter les mérites dès cet été. Et j’ai immédiatement accroché. Non, ce nouveau Sonic 3D n’est pas le jeu le plus peaufiné de l’année, mais sa boucle de gameplay terriblement efficace fait qu’il m’a été impossible de lâcher la manette. Seule ombre au tableau : une version Switch qui est très jouable, mais sans doute un peu trop ambitieuse pour un jeu de cette nature, au point où j’ai fini par passer sur PS5 pour pouvoir le platiner dans de meilleures conditions. Mais, comme souligné dans le test, peu importe où vous y jouerez, ça reste de la très bonne came.

2. 13 Sentinels: Aegis Rim

Une deuxième place encore tenue par un éditeur qui, définitivement, est plus fort que toi. Pourtant sorti en début d’année, impossible de se détacher depuis de 13 Sentinels: Aegis Rim, fable de science-fiction qui arrive à digérer toutes ses références pour en faire une œuvre majeure. De la direction artistique à la bande-son, tous les éléments du jeu s’imbriquent pour former une main géante destinée à nous coller une bonne grosse claque. Et, cerise sur le gâteau, le jeu s’offre même le luxe de mieux tourner sur Switch que sur PS4, un comble ! Si le fait de jouer à un jeu très narratif ne vous dérange pas, donnez-lui sa chance, vous ne le regretterez pas.

1. Xenoblade Chronicles 3

Grand fan devant l’éternel des jeux de Tetsuya Takahashi, j’attendais avec impatience Xenoblade Chronicles 3. Mais, une fois la cartouche dans la console, je me suis senti un peu déboussolé : s’éloignant de l’aspect résolument shonen des deux premiers épisodes, ce nouvel opus pose un rythme plus adulte, plus lent, plus sérieux, et je peux comprendre qu’il divise, comme l’avait fait le 2 en son temps (pour de toutes autres raisons, néanmoins). Après ce désarçonnement initial, je me suis plongé à corps et à cœur dans cette aventure qui témoigne d’une maîtrise exceptionnelle de la part de MonolithSoft : maîtrise technique, déjà, en arrivant à pousser la Switch dans ses retranchements ; maîtrise d’un système de combat soigneusement retravaillé ; et maîtrise d’un sens certain de la mise en scène, au service d’un scénario qui m’a fait pleurer à gros sanglots à de nombreuses reprises. Un très très grand jeu de la part d’un très très grand studio.


L’année 2022 de Skadi en trois points

Mon pétard mouillé de l’année : Bayonetta 3

Les déceptions sont rares dans ma ludothèque, m’assurant souvent qu’un titre correspond à mon mood du moment avant d’y jouer. Ainsi, dans la dernière dizaine d’octobre ai-je eu le choix entre la suite de l’excellent Mario + Rabbids, deuxième opus non moins formidable que j’avais pu tester brièvement en avant-première au mois de septembre, et Bayonetta 3. Malheureusement pour moi, je me suis décidé pour l’arlésienne que j’avais attendue avec impatience. Et elle a atterri dans le club très select de mes repoussoirs vidéoludiques. Entre son système de démons qui retire cette nervosité survoltée qui fait tout le sel de la série, le bestiaire lourdaud et peu inspiré qui va avec et un récit dont la fin est tout simplement une insulte à tout ce qu’incarne le personnage de Bayonetta, difficile de ne pas ressortir de ma partie avec un goût amer en bouche.

Mon top hors-Switch de l’année : Elden Ring

DesBen a eu la gentillesse de nous laisser un joker pour sortir des sentiers battus, je saisis donc ma chance. Il est probable qu’Elden Ring ait raflé la mise aux Game Awards de cette année entre le moment où j’écris ces lignes et celui où vous les lisez, et ce serait entièrement mérité. Malgré quelques faux pas en matière de rythme dans le dernier tiers de l’aventure, rarement FromSoftware ne nous aura autant gâté. Le studio sait tirer des leçons de la bombe Breath of the Wild qui est passée par là et s’inscrit dans sa droite lignée tout en incorporant sa propre recette façon Souls, à savoir un système de combat exigeant et des donjons au level design tout simplement exemplaire. Elden Ring tombe un peu trop dans la démesure pour son propre bien (et celui de ses développeur·euses), mais je peux vous assurer que le périple à travers l’Entre-terre vaut le détour, ne serait-ce que pour contempler les murailles de Leyndell. Tout simplement un grand jeu.

Ma réconciliation de l’année : NieR Automata

Ma relation avec l’œuvre de Yoko Taro a connu des débuts… compliqués, dirons-nous. Mais ce n’était que pour mieux en tomber amoureux quelques mois plus tard. Fin 2021 je me suis essayé au remaster du tout premier NieR, et quelle n’a pas été ma déception. Gameplay quelconque, système de fins poussif dont je ne voyais pas l’intérêt tant le sous-texte me semblait évident dans ma première partie. Au moins j’ai pu lire l’incipit de l’histoire de Kainé au format nouvelle devant ma télé. Youpi. C’est donc avec appréhension que j’ai lancé sa suite en mai dernier, avant d’apprendre quelques semaines plus tard l’arrivée de la version Switch. Malgré un portage somme toute très propre, je n’avais pas envie d’attendre et j’ai bien fait. Le savoir-faire de PlatinumGames venant s’associer à un Yoko Taro qui a quelque peu revu sa copie m’ont tout simplement réconcilié avec cette licence, au point d’aller chercher les cinq fins principales et de fouiner à la recherche de quêtes annexes. Comme quoi, même en partant du mauvais pied, l’idylle est toujours possible avec un peu de temps et de bonne volonté.


Lato vous présente son top 3 de l’année 2022

légendes pokémon arceus previews japonaises 2

3. NieR Automata – La découverte tardive

Voilà plusieurs années que j’entendais parler de NieR Automata sans que je ne me décide à me pencher sur cet étonnant jeu réalisé par le non moins étonnant Yoko Taro. Il aura fallu attendre la sortie d’une version Switch pour me secouer les puces et enfin comprendre l’origine de la réputation de NieR Automata. Sans spoiler, c’est avec le cerveau retourné (et le cœur brisé) que j’ai achevé cette aventure qui, à mes yeux, maîtrise comme aucune autre l’art de briser le 4ème mur. Loin d’être parfait dans sa technique ou dans son gameplay, NieR Automata m’a néanmoins marqué d’une façon telle que jamais je n’oublierai cette expérience.

2. Bayonetta 3 – L’attente enfin terminée

On savait la sorcière de l’Umbra douée pour se faire désirer. Les cinq ans écoulés entre l’annonce officielle de Bayonetta 3 et sa sortie l’auront démontré sans souci. Fort heureusement, l’attente valait le coup : c’est avec une joie intense que j’ai vu notre chère Cerezita plus puissante que jamais accompagnée de ses démons destructeurs et d’un arsenal encore plus riche que dans les deux épisodes précédents. J’ai retrouvé avec un profond plaisir la sensation de puissance dévastatrice émanant des affrontements nerveux tout en découvrant une facette plus émotionnelle dans la conclusion de ce troisième épisode. Ma seule interrogation concerne l’avenir de la saga qui, selon le message de fin, sera à découvrir dans “une prochaine génération” : reverra-t-on notre brune bien-aimée ?

1. Légendes Pokémon Arceus

Curieusement, je pensais que mon GOTY Switch 2022 serait obligatoirement Bayonetta 3 entre l’attente démesurée et mon amour pour la saga d’Hideki Kamiya. Pourtant, c’est Pokémon qui ravit la première place de mon top personnel avec sa nouvelle proposition : Légendes Pokémon Arceus. Il est difficile de résumer en quelques lignes l’extraordinaire impression que m’a laissée cette nouvelle formule de la série mais je résumerais la chose en un mot : liberté. Jamais Pokémon n’aura été aussi ouvert et aussi plaisant. Attraper des Pokémon sans nécessairement les combattre, se cacher dans les hautes herbes, jouer à une époque où ils représentaient une menace… Tant de bonnes idées se sont glissées dans ce jeu que la formule Légendes est venue détrôner les jeux classiques dans mon coeur. Désormais, je croise les doigts pour de nouveaux épisodes Légendes en exploitant le lore de la saga : pourquoi ne pas en profiter pour approfondir la mythologie incomplète de Kalos et de la 6G ?


Le top 2022 de Jili

TOEM A Photo Adventure switch

Mon année Switch a été très… timide on va dire. C’est vrai que cette année a été un moment charnière dans ma vie, entre la fin de mes études, la signature de mon premier CDI et les aléas de la vie dans cette période, je n’ai pas joué autant que je l’aurais aimé ! Mais à l’heure du bilan, difficile de ne pas évoquer ces quelques titres disponibles sur la belle hybride et qui ont bercé mon année.

Unpacking

J’ai déménagé trois fois cette année, et une 4e fois en lançant Unpacking. Ce jeu est brillant sur tous les aspects et réussit à faire parvenir des émotions d’une manière plutôt étonnante : en déballant des cartons. On suit la vie d’une fille, de sa chambre d’enfant à son premier appartement d’étudiante, sa première colocation… Et au fil des heures, au fil des centaines d’objets déballés, on se prendra d’affection pour la vie de cette personne, en suivant ses hauts, ses bas. Et le tout uniquement par la narration environnementale brillante, sa bande son et sound design léchée et son pixel art somptueux. Bref, Unpacking, c’est une expérience à part que je ne peux que vous conseiller.

TOEM : Une aventure photographique

Restons dans le feel-good avec Toem ! Il m’a peut-être moins marqué que Unpacking, mais quel bol d’air frais ! Sa direction artistique tout en 2D, noire et blanche, remplie d’animaux anthropomorphiques. Les niveaux parviennent à se renouveler sans cesse, le jeu amène régulièrement de nouvelles idées et parvient à rendre l’utilisation de l’appareil photo différent. En plus de ça, il se permet d’être drôle alors que demander de plus ?

Légendes Pokémon Arceus et Pokémon Violet

Alors là, moi ? Mettre deux Pokémon dans un top ? Vraiment ? Enfin, j’ai retrouvé un immense plaisir à jouer à cette licence. Je crois que cette sensation ne m’était pas arrivée depuis ma longue relation avec Diamant et Perle, et ça, il fallait le faire. Arceus et sa capture sont passionnants. Réussir à rendre intéressant de capturer 10 fois le même Pokémon, c’était audacieux et c’est réussi. Puis pouvoir voir les Pokémon gambader tranquillement dans la nature… bon sang mais qu’est-ce que j’aurais aimé voir le moi d’il y a 15 ans, il aurait été complètement fou. Puis enfin, on arrête avec les transitions interminables entre les combats et les apparitions… Puis pour Pokémon Violet, je n’ai pas les mots tellement c’était encore plus chouette ! Le vrai open-world, la vraie aventure, pouvoir visiter n’importe quelle arène. Si le jeu met du temps à décoller et n’est jamais vraiment difficile, j’ai pris un pied monumental ! On pourrait s’attarder sur les problèmes techniques, et oui, c’est indécent par moment pour les consommateurs et il faut le souligner. Mais bon, j’ai jamais été trop regardant sur ce côté, et même si parfois, on arrive à être émerveillé par la mocheté du jeu, un petit lancer de Pokéball parvient à nous relancer quelques frissons.


Le top 2022 de Léo

Splatoon 3

Cette année 2022 a été particulièrement bien remplie sur Nintendo Switch ! Même si elle n’a pas vu l’arrivée d’un nouveau Mario 2D/3D ou de The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom, la console nomade de Nintendo a accueilli plusieurs hits qui lui garantissent encore un bon Noël en termes de ventes. J’ai malheureusement eu peu de temps à y consacrer mais j’ai tout de même quelques coups de cœur… et déceptions.

Le top du top…

Splatoon 3 

Quel plaisir de retrouver Splatoon ! Il s’agit de l’une de mes licences préférées et j’ai adoré me replonger dans les batailles de territoire sur de nouvelles cartes, avec de nouvelles armes et musiques. Les améliorations apportées au mode Salmon Run sont très plaisantes et le mode solo est tout simplement excellent, même s’il manque de difficulté. Je continue de regretter qu’il n’y ait que si peu de nouveautés dans ce troisième opus, mais Splatoon 3 reste malgré tout très plaisant, comme vous pouvez le voir dans mon test (lien). A conseiller à tout le monde, petits et grands !

Mario Kart 8 Deluxe Pass Courses additionnelles 

Si on m’avait dit que je mettrais ce DLC dans mes coups de cœur de l’année à la date de sortie de la première vague, je n’y aurais pas cru. Pourtant, 5 ans après sa sortie, et même 8 ans après la version originale sur Wii U, c’est un vrai plaisir de découvrir du neuf sur Mario Kart 8 Deluxe. Je déplore toujours que le style visuel soit emprunté (le mot est faible) à Mario Kart Tour plutôt qu’au style des autres circuits, mais la plupart des circuits sont réussis. Quant aux musiques, elles sont aussi bien réorchestrées que dans le reste du jeu. Encore 3 vagues de 8 circuits chacune, donc encore 3 vagues de bonheur !

…et le moins top

Mario Strikers Battle League Football 

Très attendu par beaucoup de joueurs après un opus Wii particulièrement apprécié, Mario Strikers Battle League Football a au final été oublié dès sa sortie, ou presque. Peu de contenu, gameplay pas aussi déjanté que ses prédécesseurs, des mises à jour qui n’apportent pas grand-chose… Bref, on a là l’un des jeux les plus ratés de l’année chez Nintendo, et très probablement le jeu au potentiel le plus gâché depuis bien des années. Dommage, et ça ne présage rien de bon pour la suite de la série.

Nintendo Switch Sports 

Faire revivre Wii Sports, le symbole de la réussite de la Wii, était une bonne idée sur le papier mais encore faut-il bien l’exécuter. Certes, le gameplay au motion control est plaisant mais là encore, je déplore un gros manque de contenu. Le tennis et le bowling se voient amputés de quelques modes de jeu des précédents jeux (les 100 quilles ?) et les autres sports ne sont pas flamboyants (mention spéciale au chambara, anecdotique). On aurait pu espérer un suivi sur le long terme mais le seul sport ajouté a été le golf (peut-être le meilleur sport), bien tard car il est arrivé il y a seulement quelques semaines. Bref, un coup d’épée dans l’eau et un succès commercial qui reste modeste.

Hors-Switch : le Steam Deck 

La Nintendo Switch est une excellente console, mais je ressentais le besoin de jouer à quelques jeux AAA qui ne sont pas disponibles sur celle-ci, ou bien avec une qualité visuelle qui laisse à désirer. J’ai donc décidé d’acquérir un Steam Deck, la machine portable de Valve qui permet de jouer à la plupart des gros jeux dans de bonnes conditions, en 800p maximum tout du moins. Au final, il s’agit d’une excellente expérience : la console n’est pas lourde en main et présente l’avantage majeur d’être une sorte de console-PC. On peut y installer Windows, lancer d’autres launchers (Epic Games Store entre autres) et pas seulement Steam et bien d’autres choses. Le Steam Deck est assez ouvert dans son architecture et vous permet donc de faire à peu près n’importe quoi tant que vous vous y connaissez un peu dans le domaine des PC. C’est donc un gros coup de cœur pour moi !


DesBen ne fait pas trop comme les autres, mais voici son retour sur 2022

Tears of the Kingdom

Je ne vais pas me faire beaucoup d’amies et d’amis ici. Déjà, pas de top 3 pour moi, je vais me contenter d’un texte plus classique pour vous expliquer ce qu’il s’est passé. Amoureux des jeux-vidéo, de Nintendo ainsi que de la Switch, j’ai passé énormément d’années à profiter comme un fou de mes consoles. Mais 2022 n’a pas été comme les autres. Tout comme j’ai pu abandonner les jeux en 2015 avec la fin de la Wii U, l’année qui vient de passer n’était clairement pas la plus intéressante de mon côté. Certes, je n’ai pas essayé de m’adonner à beaucoup de jeux, mais j’ai tout de même acheté Kirby, Bayonetta 3, Splatoon 3 et j’ai continué de jouer à Monster Hunter Rise avec son extension Sunbreak, pour ne citer qu’eux. Mais rien ne m’a réellement tenu en haleine. Rien du tout. Bayonetta 3 est venu avec ses promesses, mais je l’ai abandonné après 4 ou 5 heures. Je n’ai guère joué plus à Splatoon alors que je l’attendais comme un fou. Ne parlons même pas de Mario Strikers qui m’a complètement laissé de marbre tant son contenu était pauvre. Au final, j’ai passé plus de temps sur Call of Duty: Modern Warfare II sur PlayStation 5 que sur n’importe quel autre jeu.

J’en attends énormément de l’année 2023, avant tout avec la sortie du tant attendu The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom. Pour tout vous dire, j’ai déjà posé des congés pour en profiter au maximum. Le week-end du 12 mai : pas de sorties, pas d’ami(e)s, pas de travail, rien que Link et son épée. Je sais pertinemment que la sensation ne sera plus la même que pour Breath of the Wild, où nous découvrions tout, mais j’ai beaucoup d’espoir. De même, j’espère que 2023 sera l’année où Nintendo commencera à parler de l’avenir, de la prochaine console (espérons qu’elle s’appelle toujours Switch, on a un nom de domaine à garder !), des futurs projets. La Switch commence doucement à m’ennuyer, c’est un fait. Mais ce n’est pas parce que les sorties ne me plaisent pas que la Switch est morte.

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DesBen
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Benjamin DESTREBECQ - Joueur de 29 ans, fondateur du site Switch-Actu.fr, je suis passionné par le jeu-vidéo depuis The Legend of Zelda: Ocarina of Time. Je joue sur Nintendo Switch, Xbox One, PlayStation 5, parfois sur mon smartphone. Rédacteur freelance, j'ai également un certain affect pour le webdesign, à mon niveau.