Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau – Nos impressions à la Paris Games Week

Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau – Nos impressions à la Paris Games Week

Dans moins d’une semaine, nous pourrons de nouveau pourfendre des centaines, voire des milliers, d’ennemis lors de batailles dévastatrices dans Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau. Mais comme vous, on est terriblement impatient, alors on n’a évidemment pas pu résister à l’idée de tester la démo du jeu présente sur le stand Nintendo de la Paris Games Week ! Au terme de notre session, on vous propose un petit récapitulatif de nos impressions quant à cette nouvelle itération de la formule Warriors à la sauce Zelda.

L’avis de Jili

Ayant beaucoup aimé L’Ère du Fléau, j’attends avec impatience cette nouvelle itération d’Hyrule Warriors. La prise en main à la Paris Games Week a été très rassurante. Techniquement, on retrouve un 60 images par seconde solide qui fait un bien fou, malgré quelques petites concessions sur l’aspect visuel, avec un aliasing parfois prononcé, mais qui s’oublie face à la beauté de la direction artistique tirée de Tears of the Kingdom.

Les Chroniques du Sceau repart sur les mêmes bases que L’Ère du Fléau, c’est-à-dire que le jeu va venir épouser les différentes particularités de gameplay du jeu dont il est la préquelle. On retrouve assez rapidement les bases manettes en main, on affronte des hordes d’ennemis tout en utilisant des éléments phares de TOTK comme outil de gameplay dévastateur. Les artefacts Soneaus devront être utilisé à bon escient pour raser le champ de bataille, comme le lance-flammes qu’on a pu utiliser dans la démo et qui a su nous émoustiller avec Lato. On pouvait switcher entre 3 personnages : Zelda, Rauru et Mineru. Pas eu l’occasion de toucher suffisamment le jeu pour vraiment appuyer les différences entre eux, mais on a pu utiliser les attaques duo, très mises en avant dans la communication du jeu, et qui sont vraiment efficaces en plus d’être joliment cinématiques. 

En soit, cette prise en main est plus rassurante que surprenante. On ne ressort pas galvanisé comme si la recette était bouleversée, mais plutôt confiants sur une fluidité qui n’a pas montré de faille et qui devrait offrir une expérience bien plus agréable qu’avec L’Ère du Fléau. On peut aussi ajouter qu’à l’inverse de ce dernier, le jeu met l’accent sur la narration avec des phases un peu plus dédié à la balade et à la narration, en plus des cinématiques. Au début de la démo, on y incarne Zelda qui marche tranquillement vers son prochain objectif en compagnie de Rauru et Mineru. Reste à savoir si Les Chroniques du Sceau sera bel et bien canon, ou proposera un récit alternatif à celui de Tears of the Kingdom. Réponse très très très vite. 

L’avis de Lato

Je ne vais pas faire dans l’originalité mais s’il y a bien un point sur lequel j’attendais Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau au tournant, c’était sur la technique. J’avais adoré l’Ère du Fléau mais sa techniquement calamiteuse n’avait rien fait pour améliorer l’expérience. Sur ce point, j’ai été totalement rassuré par ma session à la Paris Games Week : bien sûr, il faudra réserver un verdict final pour la sortie complète du jeu mais force est de constater que le 60 fps stable fait un bien fou à la formule.

Au-delà de ces considérations techniques, le gameplay des Chroniques du Sceau amorce une évolution similaire à celle que Tears of the Kingdom a réalisé par rapport à Breath of the Wild. En plus du gameplay traditionnel et jouissif des combos d’attaques fortes et faibles, Les Chroniques du Sceau intègre les artefacts Soneaus ainsi que des capacités spéciales qui enrichissent les possibilités d’action… et les complexifient. À mon humble avis, ce nouvel épisode demandera un petit temps d’adaptation, le temps de bien intégrer les commandes et pouvoir déchaîner des attaques toutes plus dévastatrices les unes que les autres sur le champ de bataille. Ce sera cependant pour le meilleur car ce nouvel Hyrule Warriors s’annonce excellent, notamment concernant les gameplays individuels de chaque personnage : nous pouvions incarner Zelda, Rauru et Mineru pendant notre session et comme d’habitude, on constate le soin apporté à la création d’un gameplay unique pour chaque combattant. Encore une fois, il faudra attendre le jeu complet pour en avoir le coeur net mais j’ai hâte !

L’avis de Léo

Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau n’a jamais vraiment capté mon attention jusqu’à présent : j’avais apprécié Hyrule Warriors et sa suite, l’Ère du Fléau, mais je trouvais que le gameplay commençait à tourner en rond dans l’univers Zelda. C’est donc sans grande attente que j’ai testé ce troisième jeu de la série à la PGW, mais j’ai été rapidement séduit par la proposition. Le gameplay reste globalement le même que précédemment mais de nombreuses mécaniques ont été ajoutées, notamment liées aux artefacts Sonaus qui promettent de largement diversifier l’expérience. Il nous était possible d’incarner Zelda, Rauru et Mineru et j’ai été plutôt convaincu par leur panoplie d’armes et d’actions, toutes différentes les une des autres.

Mais le vrai changement de ces Chroniques du Sceau, c’est indéniablement le passage aux 60 fps en comparaison aux 30 fps péniblement atteints par l’Ère du Fléau. Le gameplay est largement plus fluide, tout s’enchaîne rapidement et sans accroc ce qui est un vrai bonheur manette en main. La démo était dans une grotte, soit une zone fermée, il nous faudra donc attendre de voir ce que le jeu propose dans des zones plus ouvertes. Quoi qu’il en soit, j’ai apprécié cette courte expérience et cela va peut-être me décider à acheter Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau alors que je n’en avais pas la moindre intention.

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Gamer de 27 ans avec un penchant pour les jeux racontant de belles histoires. Je suis rédacteur sur le site depuis 2017. Zelda reste ma licence de cœur mais j'aime découvrir des jeux de toutes sortes !


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