Déjà connus des joueurs de la Switch pour leur portages réussis de Doom et de Wolfenstein II : The New Colossus, Panic Button récidivent en amenant cette fois sur notre console préférée Hob : The Definitive Edition. Pas de longue attente à l’horizon car c’est le 4 avril que débarquera cette version améliorée du jeu sorti initialement en 2017.
Pour ceux qui ne sauraient ce qu’est Hob, il s’agit d’un Zelda-like, en cela qu’il est un jeu d’exploration avec des combats (assez simples) mettant au premier plan ses énigmes pour faire avancer le protagoniste. Le joueur se trouve ainsi propulsé au sein d’un monde littéralement et figurativement cassé, et devra faire preuve d’ingéniosité mais aussi d’un peu de chance pour le reconstruire à l’aide des nombreux leviers et autres valves disséminées partout autour de lui. Tel un puzzle de 1000 pièces, la solution pourra paraître absconse ou peu claire jusqu’à sa résolution finale. Certains pourront le déplorer, mais la satisfaction de ceux qui s’accrocheront n’en demeurera que plus grande.
Expérience relaxante par excellence, le jeu de Runic Games vous demandera de vous laisser porter par son design cartoon, son mystère et son silence, qui n’est que brisé par les belles mélodies d’un des plus grands compositeurs de musique de jeu vidéo au monde : Matt Uelmen, l’homme derrière les BO de Diablo et Torchlight. Cette Definitive Edition nous promet par ailleurs de subtiles améliorations de gameplay et de caméra, ainsi qu’une adaptation du jeu aux fonctionnalités de la Switch comme l’écran tactile ou le HD Rumble. Nous ne pouvons qu’espérer que Panic Button a su tirer parti du temps consacré à ce portage pour corriger les quelques petits défauts du jeu d’origine pour, qu’enfin, tous les joueurs puissent profiter de cette œuvre sans frustration.
Hob : The Definitive Edition est d’ores et déjà disponible à la précommande sur l’eShop au prix de 19,99€, et vous aurez jusqu’au 17 avril pour vous le procurer avec une réduction de 10%.
C’est étrange qu’on ait besoin de Panic Button pour un jeu qui se porte très facilement sur Switch. Il n’y a rien de transcendant graphiquement ! Laissez Panic Button s’occuper de AAA !
Je pense que la raison est relativement simple : le studio à l’origine du jeu n’a pas de développeurs ayant les compétences de développer sur Nintendo Switch. Ils font donc appel à un studio réputé dans ce domaine 🙂
Ça a l’air sympa comme petit jeu. 🙂