Super Mario Galaxy + Super Mario Galaxy 2 : deux étoiles au firmament du jeu vidéo – TEST

Super Mario Galaxy + Super Mario Galaxy 2

Lorsque l’on parle de Super Mario Galaxy, j’ai toujours cet enthousiasme qui n’a pas failli depuis que j’ai découvert ce jeu, en 2008 (sorti en 2007). Offert pour mon anniversaire, je me souviens n’avoir pas vraiment été emballé par ce cadeau, tout simplement car je n’aimais pas vraiment perdre (17 ans après, cet aspect n’a pas vraiment changé …). Et pourtant, il s’agit tout simplement de l’expérience qui m’a façonnée en tant que joueur, qui m’a donné goût au jeu vidéo et qui me marque encore aujourd’hui. C’est donc avec un plaisir certain que j’accueille cette compilation regroupant Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2 sur Nintendo Switch, sortie le 2 octobre dernier, et non sans une certaine émotion que je vais vous livrer mon avis sur ces deux gemmes intemporelles.

Note : vous pouvez accompagner la lecture de ce test avec l’écoute du thème principal de Super Mario Galaxy 2 : lancez la vidéo et … régalez-vous !

Super Mario Galaxy : une aventure à la fois épique et mélancolique

L’histoire n’est souvent qu’un prétexte dans les jeux Mario, et il n’est donc pas étonnant d’avoir encore une fois dans ce Super Mario Galaxy pour mission de sauver Peach des griffes de Bowser, qui souhaite créer sa propre galaxie au centre de l’univers. Pour contrer ses plans, Mario doit se propulser dans l’espace et y fait la découverte d’Harmonie, une femme mystérieuse qui souhaite protéger l’univers et ses Lumas, des petites créatures toutes mignonnes qui la prennent pour leur maman. Une mission qui est mise à mal par le vol par Bowser de toutes les étoiles de puissance de l’observatoire de la comète, qui permettent à l’astronef de voyager entre les galaxies. Mario a donc pour tâche de parcourir les différentes planètes qui composent l’univers pour renforcer l’énergie de l’observatoire et lui permettre de se rendre au QG de Bowser, au centre de l’univers.

Vous n’êtes cependant pas seul pour accomplir cette tâche puisqu’Harmonie vous confie un Luma, qui prend place sous le chapeau de Mario et lui donne la faculté de tournoyer pour atteindre de nouvelles hauteurs et étourdir les ennemis. Le Luma étant votre allié, vous pouvez maintenant découvrir l’observatoire, un hub qui vous permet d’accéder aux différents niveaux du jeu via des dômes renvoyant aux pièces d’une maison : la cuisine, la salle de bains, la salle de jeux, etc. Chaque galaxie a son propre thème et ses propres personnages, amicaux ou ennemis, qu’il vous faudra aider ou éradiquer pour obtenir les fameuses étoiles de puissance. Bien sûr, chaque dôme abrite un « boss final » qui consiste en un affrontement contre Bowser ou bien contre Bowser Jr. et les acolytes qu’il a pu trouver. Une fois battus, ces derniers lâchent une grande étoile, qui permet de redonner une certaine harmonie (sans mauvais jeu de mot) à l’observatoire mais surtout d’accéder au dôme suivant et à des galaxies plus éloignées et plus dangereuses.

Le gameplay autour des planètes antigravitationnelles peut d’abord surprendre au premier abord, mais est finalement parfaitement maîtrisé. Les possibilités offertes par la forme sphérique des planètes sont nombreuses et Super Mario Galaxy fourmille d’idées uniques ainsi que d’un level-design astucieux. Pour faire simple, il s’agit probablement de la quintessence de la plateforme en 3D, tant Nintendo montre ici toute l’étendue de son expérience dans le domaine. L’expérience est certes très linéaire avec une place très secondaire accordée à l’exploration, mais cette linéarité est d’une maîtrise totale : dans Super Mario Galaxy, rares sont les moments où l’on s’ennuie et où on ne s’émerveille pas devant des panoramas sublimes ou des séries de plateformes particulièrement bien pensées. De plus, le voyage entre les planètes grâce aux anneaux-étoiles donne un sentiment de liberté et d’ennivrement particulier, comme si toute la galaxie nous appartenait et qu’il n’y avait plus qu’à en explorer les moindres recoins.

Le gameplay de Super Mario Galaxy tourne bien évidemment autour de la détection de mouvements, notamment pour ramasser les éclats d’étoiles et tournoyer. Sur les deux Nintendo Switch, il est même possible de limiter au maximum ces contrôles si vous n’en êtes pas friands en utilisant un bouton pour utiliser le pouvoir du Luma et en touchant l’écran en mode portable pour récolter les éclats d’étoiles. Ces gimmicks tout droits venus de la Wii peuvent en rebuter plus d’un mais les contrôles au gyroscope, remplaçant le pointage, restent efficaces sur Switch même si un peu moins intuitifs qu’autrefois – surtout en mode portable, la recalibration étant souvent nécessaire. Il est difficile d’envisager Super Mario Galaxy sans la détection de mouvements, tant son gameplay repose autour de cela. J’irais même jusqu’à dire qu’une partie de la magie s’évapore sans la possibilité d’agiter sa manette pour faire tournoyer Mario : cela donne le sentiment de ne faire qu’un avec le plombier, d’avoir un personnage virevoltant entre les planètes avec légèreté et de manière libre. Tout, dans le jeu, pousse le joueur à ressentir des émotions aussi différentes les unes que les autres, passant du plaisir à l’enchantement sans oublier la mélancolie.

Car oui, aussi épique que soit Super Mario Galaxy, ce dernier parvient à toucher le joueur en proposant une histoire un peu plus poussée que dans les Mario traditionnels. Non seulement cet univers galactique donne à s’interroger, mais c’est surtout Harmonie qui rend perplexe par sa présence et son rôle en tant que gardienne de l’univers. Une bibliothèque est présente à l’observatoire pour en savoir plus à son sujet et les raisons qui la poussent à parcourir le cosmos, par le biais d’un livre d’histoires se lisant à la manière d’un conte pour enfants, avec illustrations dessinées à la main. La profondeur du personnage d’Harmonie et la relation particulière qu’elle entretient avec les Lumas rendent l’attachement à cet univers encore plus viscéral et permettent au joueur de se sentir réellement intégré dans cette histoire, ce qui change agréablement des autres jeux Mario.

Impossible d’évoquer les émotions sans parler des musiques composées par le légendaire Koji Kondo et Mahito Yokota, toutes plus réussies les unes que les autres. Avec Super Mario Galaxy, Nintendo s’essaye pour la première fois à un orchestre pour la bande originale d’un de ses jeux. Autant dire que le résultat est somptueux à l’oreille, avec des morceaux inédits collant parfaitement avec l’ambiance galactique et particulière de chaque planète et qui restent encore mémorables aujourd’hui (Gusty Garden Galaxy, Melty Molten Galaxy, le thème de l’observatoire Rosalina in the Observatory, etc.). Entre les envolées épiques, les thèmes emplis de suspense et les mélodies plus calmes et mélancoliques, le jeu propose un assortiment exceptionnel de musiques et s’impose comme l’une des meilleures OST du jeu vidéo. L’une des meilleures et pas la meilleure, car un autre jeu pourrait prétendre à ce titre : Super Mario Galaxy 2.

Super Mario Galaxy 2 : une épopée galactique encore plus magistrale

Après un Super Mario Galaxy qui a enchanté à la fois la presse et les joueurs, il est difficile de se dire qu’une suite peut voir le jour malgré le succès du jeu, surtout lorsque l’on sait que Nintendo n’a pas l’habitude de publier des suites aux jeux Mario en 3D. C’est pourtant ce qui est arrivé avec Super Mario Galaxy 2, sorti sur Wii en 2010 : le jeu propose une nouvelle fois de décoller vers les nuages avec pour mission d’empêcher Bowser de s’approprier le pouvoir des étoiles et d’assouvir ses désirs. Cette fois-ci, l’arrêter sera peut-être un peu plus difficile pour la simple et bonne raison qu’il est devenu énorme, pouvant tout détruire sur son passage. Toujours accompagné d’un fidèle Luma, Mario se jette donc à sa poursuite dans une aventure qui doit respecter deux principes : rester dans la lignée du premier jeu tout en s’en démarquant suffisamment pour qu’il fasse office de vraie suite. N’entretenons pas le faux suspense : le pari est tenu, et même plus qu’attendu.

Si Bowser devient géant, ce n’est pas le seul changement à noter car la structure du jeu évolue elle aussi : adieu l’observatoire de la comète et bienvenue sur le vaisseau Mario, tenu par la maîtresse d’équipage Lubba. Petit apparté en passant : Lubba était auparavant un personnage nommé au masculin, mais qui se trouve dans ce remaster Switch nommé au féminin, très certainement dans une logique scénaristique par rapport au film qui sortira en 2026 mais qui n’a pas beaucoup de sens si on ne se fie qu’aux jeux. Quoi qu’il en soit, à la manière d’Harmonie mais avec beaucoup moins de charisme et en étant bien plus piquant dans ses discours, Lubba souhaite veiller sur ses Lumas, tâche rendue difficile par le vol des étoiles de puissance par Bowser. Le vaisseau Mario vous aidera à récupérer ses étoiles, en voyageant entre les galaxies mais cette fois-ci de manière un peu plus intuitive que sur le premier opus car vous pouvez rejoindre les planètes à l’aide d’une carte, ce qui vous évite de vous coltiner des aller-retours peu utiles. La contrepartie, c’est que le vaisseau est moins intéressant à explorer que l’observatoire : moins grand, moins de choses à faire, vous n’y passerez pas l’essentiel de votre temps.

Hormis ce léger détail, tout le reste du jeu s’applique à rendre l’expérience vécue dans le premier jeu encore plus impressionnante et encore plus plaisante. Super Mario Galaxy 2 voit l’introduction de nouvelles transformations : en plus de l’abeille, du feu ou encore de la glace déjà présents dans le premier opus, Mario peut maintenant se transformer en boule de pierre, fabriquer des nuages ou encore forer le sol. A l’image de son prédécesseur, un mode deux joueurs est présent mais le joueur 2 a un rôle très anecdotique, se contentant d’incarner un Luma et de ramasser les éclats d’étoiles et d’immobiliser les ennemis. Ce qu’il faut retenir, c’est surtout l’arrivée de Yoshi, qui diversifie encore davantage le gameplay avec des transformations dont lui seul a le secret et qui donnent davantage de défi dans les niveaux où il est mis en avant.

D’ailleurs, le jeu en lui-même est un peu plus ardu que son grand frère : les différentes galaxies sont plus dangereuses, avec un pic de difficulté dans le post-game et un niveau final qui rend non seulement hommage aux deux Super Mario Galaxy mais qui va aussi probablement vous donner du fil à retordre. L’aventure est toujours aussi plaisante à parcourir, avec des idées de gameplay riches uniques à chaque niveau, tandis que l’expérience sonore réussit l’exploit d’égaler, voire surpasser celle du premier jeu avec une dimension épique et joyeuse encore plus accentuée et des thèmes toujours marquants aujourd’hui.

En réalité, Super Mario Galaxy 2 réussit tout ce qu’on attend d’une suite : il pousse la formule un peu plus loin en introduisant certains aspects et en en perfectionnant d’autres, tout en restant fidèle à ce qui a fait le succès du premier opus. Si Super Mario Galaxy proposait une atmosphère à la fois épique dans les galaxies et mélancolique à l’observatoire, Super Mario Galaxy 2 a créé une ambiance qui lui est propre, plus légère et joyeuse mais aussi plus magistrale de par la richesse infinie de son univers et de ce voyage spatial qui va encore plus loin. L’expérience est sans cesse renouvelée du côté des idées exploitées mais aussi de l’aspect visuel : les planètes ne se ressemblent pas et vous allez vous surprendre à contempler les décors galactiques, impressionnants par leur ampleur et donnant le sentiment de n’être qu’un petit haricot sans importance.

Si l’exploration est toujours largement en retrait, c’est au profit d’une progression rythmée qui ne laisse que peu de temps morts au joueur. Au final, Super Mario Galaxy 2 est l’aboutissement du savoir-faire de Nintendo dans le domaine des jeux de plateforme en 3D, avec une densité exceptionnelle et une maîtrise totale de la formule. Lorsque les équipes de développement ont des moyens équivalents à leurs idées florissantes, voilà ce que cela donne : une créativité folle et une exécution sans faille, où le plaisir et l’émerveillement constants du joueur ont été placés en tête de liste des objectifs à atteindre.

Apports des versions Nintendo Switch

Maintenant que la grandeur des deux Super Mario Galaxy n’est plus à prouver, revenons sur la qualité de leur portage sur Nintendo Switch. Si Super Mario Galaxy avait déjà profité d’un lissage HD dans Super Mario 3D All-Stars, ce n’est pas le cas de Super Mario Galaxy 2 qui n’est jamais ressorti depuis 2010. Les deux titres profitent maintenant d’un affichage en 1080p à 60 fps (720p en mode portable), tandis que quelques textures ont été retravaillées et la police d’écriture modifiée. Sur Nintendo Switch 2 (plateforme à partir de laquelle ce test s’est réalisé), c’est même de la 4K en mode TV et du 1080p en mode portable.

Visuellement, ce réhaussement de la résolution est un bonbon pour les yeux et rend justice aux deux jeux, tant ils bénéficiaient déjà d’une direction artistique magnifique sur Wii mais d’une résolution bien trop basse pour en apprécier les détails. Qu’il s’agisse des herbes, du bois, de l’eau, tout est plus agréable visuellement hormis certains modèles qui ont un peu vieilli. L’essentiel est qu’en jouant à ces deux jeux, on oublie parfois qu’ils ont plus de 15 ans. Parfois, car les caprices de la caméra peuvent être gênants : sur Wii, on passait l’éponge plus facilement mais aujourd’hui, le fait de ne pas pouvoir toujours orienter la caméra comme on le voudrait s’avère frustrant. De plus, dans certaines situations, Mario semble un peu perdu par les lois de la gravité et se met à tourner sur lui-même sans qu’on ne le maîtrise vraiment. Ne plus toucher au stick suffit à le calmer, et ce n’est évidemment rien de suffisamment dramatique pour nuire véritablement à l’expérience.

D’autres ajouts sont à souligner, comme la présence d’un mode moderne qui consiste à rendre l’expérience un peu plus accessible (notamment sur la fin de Super Mario Galaxy 2) en montant l’énergie maximale à 6 de manière permanente et en rattrapant Mario en cas de chute. De nouvelles pages ont été ajoutées au livre d’histoires d’Harmonie dans le premier jeu, tandis qu’un livre complet a fait son apparition dans le deuxième opus. Cela est forcément appréciable pour les fans, bien que cela ne s’apparente qu’à un bonus probablement utile pour mieux comprendre les futurs enjeux de Super Mario Galaxy – Le Film qui sortira au cinéma en avril 2026.

Enfin, la bande-son originale des deux jeux est disponible sur l’écran titre de chacun, vous permettant de vous (re)plonger dans vos thèmes préférés sans avoir à lancer une partie. Tous ces ajouts sont certes bienvenus et permettent de profiter de ces deux titres dans les meilleures conditions, mais on aurait aimé avoir un peu plus de nouveautés et d’efforts investis dans ces remasters, surtout à l’approche d’un film sensé les célébrer.

Découverte ou redécouverte : que faire ?

C’est la grande question, à laquelle ma réponse est plutôt simple : si vous n’avez jamais testé Super Mario Galaxy et/ou Super Mario Galaxy 2, alors l’occasion est bien trop belle pour passer à côté de ces chefs d’oeuvre, remis au goût du jour avec un affichage en haute définition. Ne vous attendez toutefois pas à retrouver une formule similaire à celle de Super Mario Odyssey : là où ce dernier privilégie l’exploration par sa structure plus ouverte, les Super Mario Galaxy se focalisent sur la plateforme pure et tout est bien plus condensé.

Notez aussi que si vous avez aimé Super Mario Bros.: Le Film et que vous êtes curieux de voir l’univers qui va inspirer Super Mario Galaxy: Le Film, alors cette compilation est le meilleur moyen d’en apprendre davantage. Si vous avez déjà joué à Super Mario Galaxy mais pas au 2 ou inversement, sachez qu’il est possible d’acheter les deux jeux séparément sur le Nintendo eShop (la version physique ne propose pas d’édition séparée) pour un prix relativement élevé de 40€, surtout au vu des améliorations apportées et de l’ancienneté des titres, bien que leur qualité ne soit plus à débattre.

En revanche, si vous avez déjà joué aux deux jeux, l’intérêt de prendre cette compilation est un peu plus discutable. Si vous êtes un grand fan de la série, comme moi, alors n’hésitez pas et foncez, tout simplement. Dans les autres cas, il faut savoir que jouer aux Super Mario Galaxy n’a jamais été aussi agréable que sur Nintendo Switch et surtout Nintendo Switch 2. Le choix d’acheter ou non cette compilation dépend en grande partie de l’attachement que vous portez aux deux jeux et de si vous êtes prêt à investir au minimum 50€ en version physique pour vous procurer ces deux pépites et y jouer dans des conditions optimales.

Il s’agirait alors d’un achat davantage lié à la nostalgie qu’à une réelle nécessité mais au fond, vous faites bien ce que vous voulez de votre argent. Ce qu’il faut retenir, c’est que si vous avez envie de profiter de deux jeux incroyables en version moderne alors que vous les possédez déjà, vous ne faites pas partie du problème, vous aimez juste les bonnes choses.

Et Mario toucha deux fois les étoiles - 95%
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Quelle meilleure occasion qu’aujourd’hui pour se plonger ou se replonger dans deux jeux cultes ? Jouer à Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2, c’est être sans cesse émerveillé par ce qui se passe à l’écran, au point que l’on peine à poser la manette. Pourtant, ce n’est que lorsque l’on la pose définitivement qu’on se rend réellement compte de l’expérience que l’on vient de vivre. Même plus de 15 ans après, la magie continue d’opérer, signe de l’impact qu’ont ces deux titres sur le monde du jeu vidéo. A titre personnel, chaque nouvelle run me renvoie à ma première découverte du jeu, lorsque j’avais 7 ans : des étoiles dans les yeux autant qu’à l’écran. Rares sont les jeux qui me font encore frissonner des années après les avoir finis, mais Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2 en font définitivement partie.

Les +
  • Deux classiques désormais accessibles sur Switch
  • Des aventures aussi épiques qu’attachantes
  • Harmonie et ses Lumas, toujours présents aujourd’hui
  • Un gameplay qui n’a pas vieilli
  • Un level-design aussi varié que pertinent
  • Un rythme très bien maîtrisé
  • Une direction artistique magnifique
  • L’une des meilleures OST de l’histoire du jeu vidéo
  • Plus beaux que jamais sur Nintendo Switch et surtout sur Nintendo Switch 2
  • Des ajouts appréciables …
Les -
  • … mais pas indispensables
  • Un remaster un peu paresseux et vendu au prix fort
  • Des petits soucis vieux de 15 ans : caméra capricieuse, Mario qui tourne sur lui-même
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149 publications

Etudiant de 23 ans, joueur Switch/Xbox passionné de jeux vidéo depuis Super Mario Galaxy. Je suis particulièrement fan de Mario, Zelda, Splatoon mais aussi d'autres licences comme Assassin's Creed, Ori ou bien les jeux de tennis en général.


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